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Le privilège d'étudier 

Il en est plus ainsi comme l’ont vécu nos parents, étudier devient de plus en plus un privilège
car au par avant le droit à l’éducation et à l’instruction faisait parti des fondamentaux. 
Actuellement, les difficultés que l’on peut trouver au niveau secondaire et supérieur sont des obstacles
qui empêchent certains jeunes d’étudier et aussi l’un des facteurs qui rabaissent le taux
de diplômés qui n’était que moindre 23,5%.

L’idée n’est pas de critiquer mais d’observer et faire un constat par la suite.

Se former et s’instruire sont des réels atouts pour quiconque veut exceller ou s’épanouir
dans un domaine quelconque.
Cependant, ce manque de formation ou d’accès à la formation produit dans ma génération
un grand trouble en terme de compétences et de capacité à tenir dans le futur puisque
grand nombre d’entre nous ce sont arrêtés, environs 30%.

N’ayant qu’une seule université publique dans le pays, les aspirants aux diplômes supérieurs
sont contraints d’aller vers Brazzaville, capitale politique du Congo, pour s’offrir une chance. 
Pour la plus part quittant Pointe-Noire pour Brazzaville situé à 500 km, sans informations nécessaires
et adéquates du dit lieu, font faces à des réalités dont ils n’en possèdent le contrôle.
Arrivés sur les lieux, l’université Marien Ngouabi leur impose un concours d’admission dont l’issue
des résultats a été déjà prononcé et financé par les particuliers un an avant la rentrée académique;
à cela s’ajoute une pagaille organisée au niveau du corps administratif où chacun est libre de faire
ou d’exercer ce qu’il veut sans être remis à l’ordre.
Les étudiants ayant manqué les concours sont hélas obligés soit de payer une somme exorbitante
afin d’accéder à la filière choisie, soit de simplement se diriger vers un autre domaine appelé roue de secoure. 

Une fois lancés dans le bain des études ces derniers font encore face à certaines difficultés dont le manque
de suivi scolaire associé à un récit qui dit, Ici tous les élèves de la première année se doivent d’échouer
à différents examens afin de reprendre l’année“
, la dispense des cours dans des locaux recevant un plus grand nombre
d’étudiants qu’ils sont censés normalement recevoir, les ressource pédagogiques limitées,
la documentation exigée par les enseignants, le surmenage dû à un manque de sommeil,
la disparition des notes d’examen et j’en passe.

Face à cela, certains, surtout des filles, se lancent dans le sexisme (étudiantes et docteurs des facultés)
afin de s’octroyer une note et passer en classe supérieure… 
dans  la délinquance, la prostitution, les jeux de chance, la criminalité et bien pire encore,
et d’autres dans des métiers peu lucratives afin de rejoindre les deux bouts et subvenir à leur besoin.
Alors, le destin de la jeunesse tricolore se voit donc être scellé et pris dans une tempête dévastatrice que la nature met face à eux.

Marchons ensemble et suivez moi à la découverte de mon pays et je vous ferai voir ses différentes facettes
aussi bien culturelles que sociologiques.

una classe durante una lezione all'Università Marien Ngouabidi Brazzaville 

 

Il privilegio di studiare
Non è più come l'hanno vissuto i nostri genitori, lo studio sta diventando sempre più un privilegio
perché in passato il diritto all'educazione e all'istruzione faceva parte dei fondamenti.
Attualmente, le difficoltà che si possono riscontrare a livello secondario e superiore sono ostacoli
che impediscono ad alcuni giovani di studiare e anche uno dei fattori che abbassa il tasso di diplomati,
solo al 23,5%.

L'idea non è di criticare, ma di osservare e fare alcune constatazioni.

La formazione e l'istruzione sono vere risorse per chiunque voglia eccellere o prosperare in qualsiasi campo.
Pertanto, questa mancanza di formazione o di accesso alla formazione genera nella mia generazione
un enorme problema in termini di competenze e capacità di resistere in futuro,
poiché molti di noi hanno interrotto gli studi, circa il 30%.

Con una sola università pubblica nel paese, gli aspiranti a titoli di studio superiori sono costretti ad andare
a Brazzaville, capitale politica del Congo, per darsi una possibilità.
La maggior parte di noi, partendo da Pointe-Noire per Brazzaville, situata a 500 km di distanza,
senza le necessarie e adeguate informazioni, affrontano realtà di cui non hanno alcun controllo.

Una volta arrivati, l'Università Marien Ngouabi impone un esame di ammissione, il cui esito è stato già deciso
e finanziato dai privati ​un anno prima dell'inizio dell'anno accademico. A ciò si aggiunge la baraonda organizzata
dell'organo amministrativo, in cui ognuno è libero di fare o esercitare come vuole senza essere messo in ordine.

Gli studenti bocciati ai concorsi sono purtroppo obbligati o a pagare una cifra esorbitante per poter accedere al settore prescelto,
oppure semplicemente a cambiare indirizzo, ciò che viene definito, via d'uscita.

Finalmente iniziati i corsi, gli studenti trovano nuovi ostacoli, come la mancanza di follow-up accademico che questo modo
di dire rappresenta bene: "Qui tutti gli studenti del primo anno devono essere bocciati a diversi esami per poter riprendere l'anno" .
Poi la frequentazione di lezioni in locali che accolgono un numero di studenti immensamente maggiore di quello che normalmente
potrebbe ospitare, le limitate risorse didattiche, la documentazione richiesta dai docenti, il sovraffaticamento dovuto a mancanza
di sonno, la sparizione di voti d'esame e così via.

Di fronte a ciò, alcuni, soprattutto ragazze, si danno al sesso per ottenere un voto e passare alle classi superiori...
o a delinquenza, prostituzione, gioco d'azzardo, criminalità, mentre altri in mestieri non redditizi per sbarcare il lunario e mantenersi.
Così, il destino della giovinezza tricolore è dunque segnato e travolto dalla tempesta devastante che la natura destina loro.

Procediamo insieme, seguitemi alla scoperta del mio Paese e vi mostrerò le sue diverse facce, sia culturali che sociologiche.

 

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